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mardi 3 décembre 2013

Mais que s'est-il passé en 2012-2013 ?

 Mais que s'est-il passé en 2012-2013 ?

C'est vrai ça, vous autres chers visiteurs de passage entre septembre 2012 et décembre 2013 auriez pu croire que l'éléphanfare, dans son grand voyage payé par ses copains et sa mémé pour son dixième anniversaire, s'était perdu quelque part entre l'Himalaya et l'Atacama - ou plutôt entre Tokyo et Hong-Kong, parce que l'Asie c'est cool, même pour un éléphant - MAIS IL N'EN EST RIEN !

Très tôt, la Fanfaraon s'est illustrée par son incroyable capacité à faire la fête et à boire des bières en mangeant des chips. (souvenez-vous : Efficacité, Ponctualité, Ebriété).

Et c'est probablement pour cela qu'elle a littéralement enflammé la place du change, dans le vieux Lyon, à l'occasion du Beaujolais nouveau, le 15 novembre 2012.

Comme l'éléphant aime les néons, les lampadaires, les diodes, et tous les machins qui brillent dans les villes la nuit (pourquoi vous croyez qu'il est parti à Tokyo et Hong-Kong, pour les vieilles pierres peut-être ?), il a tout naturellement choisi de participer à la fête des lumières, du 6 au 9 décembre, cette fête fantastique où tout brille, tout bouge, tout est magique et féérique !
Bon, sauf qu'il est pas bien malin l'éléphant, avec les 3 millions de visiteurs il était plus serré que dans un magasin de porcelaine chinoise à Shanghai - où il est aussi allé d'ailleurs, le bougre.

Après plusieurs petites retrouvailles entre amis à la montagne et à la campagne, nos chers fanfaraoneux, atteints d'une collectionnite aiguë, ont aussi voulu jouer à la plage.

"A la plage ?? Mais on est à Lyon !", me direz-vous. Oui, vous répondrai-je, mais déjà vous auriez pu réagir quand je vous parlais de la montagne (non non, Fourvière n'est pas une montagne, c'est une colline), et en plus comme vous êtes forcément accros à nos représentations artistiques de haute volée, vous aurez sûrement remarqué que "NOUS SOMMES LA FANFARAON, LA FANFARE DE SCIENCES-PO LYON, MAIS PAS QUE".

Donc, comme "mais pas que", la fanfare a visité Bordeaux, très jolie ville, et aussi parce que c'était le week-end du CRIT, du 29 mars au 1er avril. Mais si, vous savez, le Critérium Inter-IEP, compétition sportive organisée tous les ans dans la ville d'un des 9 Sciences-Po de France donnant lieu à un concours de la plus belle couleur de sweat de la part des étudiants enragés sortant des cars (mais entre nous, c'est rouge et bleu le plus esthétique, pas vrai ?).

L'éléphanfare a beau aimer le sport, il a tout de même des oreilles sensibles. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le bruit des supporters a été quelque peu pesant sur son tympan délicat. Puisqu'il était dans la région, il décida donc de se rendre à la dune du Pilat.


Par la suite, la petite équipe soudée s'est encore bien amusée, jouant tantôt sur la place de la République, tantôt place St Jean, tantôt sur le quai St Antoine. Et puis, le temps passant très vite, les 2ème années sont parties à l'étranger, laissant le flambeau aux 1ères années devenues entre temps, au mois de septembre, eux aussi 2ème années.


Et c'est là, lors de la distribution des rôles au sein de cette formidable association, que votre modeste serviteur, l'auteur de cet article, le chargé de communication de la Fanfaraon (bref, moi, au cas où vous ne l'auriez pas compris) s'est vu confier la mission cruciale de... communiquer.

Et ce n'est qu'un début !
CAR LA FANFARAON EST TOUJOURS AU RENDEZ-VOUS, ET CE DES LA FETE DES LUMIERES, LE VENDREDI 6 SOUS LE PASSAGE DE L'ARGUE ET LE DIMANCHE 8 A VERNAISON !
PS : Toute allusion dans cet article aux lieux que visitera l'auteur de ces lignes l'année prochaine depuis son université tokyoïte n'est que purement fortuite.

mardi 25 septembre 2012

C'est les dix ans!

C'est la rentrée, mais pas question pour la Fanfaraon de buller, allez hop, que ça bouge, une deux, une deux, remise au travail pouet pouet! Faut dire que les circonstances sont exceptionnelles : on n'a pas la date précise, mais on est à peu près sûrs que maintenant, ça fait dix ans que l'éléfanfare est né, et que nous le célébrons régulièrement de nos douces mélopées (certes, ça fait un peu secte, là, mais on est assez normaux, en fait... enfin, je crois)!

En effet, depuis 2002, beaucoup d'eau a passé sous le pont Galliéni, et beaucoup de bières tièdes de luxe ont été descendues. On ne compte pas non plus le nombre de mariages célébrés, de tramways retournés, d'amphis dynamisés et de valses interprétées. Pourtant, jamais, oh grand jamais, la Fanfaraon n'avait eu SA soirée.

C'est maintenant du passé. Mais l'éléphant bleu ne voulait pas être seul pour ses dix ans. Il s'accompagne donc de deux chers amis : Alexeï (duo rock) et Elsa (chanson & accordéon). 

Si tu viens pas au concert, t'ar ta gueule à la récré!

Tout ça, c'est au 6ème continent (51 rue Saint Michel, métro Saxe-Gambetta, Lyon 7ème), vendredi soir à 21 heures.

Entrée gratuite (contrairement à ce qui a été indiqué).
Adhésion à l'association 6ème contient obligatoire pour consommer au bar.

mercredi 9 mai 2012

Splendeur et misère des Fanfarons

G. Vergnon, professeur d'Histoire de son état, a durement acquis le titre de meilleur enseignant d'1A à l'IEP de Lyon. A cet égard, quel a été l'honneur de la Fanfaraon quand elle a descendu les marches de l'amphithéâtre pour lui rendre un dernier hommage avant la fin des cours! Leur petit coeur battait la chamade, c'est moi qui vous le dis.
On vous met une petite vidéo prise par un étudiant toujours très équipé, et qui nous permet de vous rendre l'ambiance générale. Vous constaterez sans difficulté que l'humeur était festive, et qu'il nous manquait une caisse claire. Vous constaterez aussi que les trombones ne sont pas très synchros, que les flûtes jouent un peu haut et que la grosse caisse était un peu trop excentrée pour maintenir le tout en rythme.
Mais rendez-vous compte d'une chose, c'est que debouts sur l'autel de la connaissance, nous avons piétiné ses fiches d'histoire pour retourner la salle. Est-ce que la musique ne fait pas plus vibrer que le meilleur cours du monde ? Quand les premières notes ont résonné, si vous aviez vu comme les yeux des étudiants pétillaient... C'est un bonheur, un frisson dans le dos, une sensation terriblement grisante qui éclipse tout amateurisme et nous met, humble Fanfare, au rang des chantres de l'Univers, des Porte-paroles des Muses, des transcripteurs de la Beauté.

vendredi 4 mai 2012

L'odeur du bon pain

C'est une nouvelle fournée. Les enregistrements ont repris de plus belle, et nous enchaînons peu à peu les morceaux que nous maîtrisons. Je vous laisse imaginer la qualité sonore que nous mettons à votre disposition, et si vous voulez faire plus qu'imaginer, allez dans la colonne de droite, vers le milieu, au-dessus de la clairsemée fan-box mais en dessous de l'adresse postale, vous prenez l'escalier du fond et c'est la troisième porte à droite : vous trouverez l'adresse web de notre profil Myspace.
Deux nouveaux concertos pour musique de chambre sont disponibles : le lyrisme tragique de Petite-Boite-Métallique-A-Ondes-Radio, qui compose, la mandoline à la main, une ode à son aimée en vantant toutes ses petites particularités qui font battre son coeur.
Mais aussi, la fièvre exotique de ce charmant ballet qui nous vient de Cuba, et dont les multiples adaptations dans toutes les langues de la terre célèbrent le multiculturalisme parce que vous voyez, nous à la fanfare on est épris de belles valeurs.
En espérant que, comme nous, ces morceaux d'éternité vous feront vibrer, nous buvons à votre santé.

samedi 3 mars 2012

Le retour de la Fanfaraon



Bonjour chers tous,
Ce blog était un peu laissé à l'abandon (le pauvre) mais pas la Fanfaraon! Elle est toujours là,
vigoureuse, bleue, tiède... La preuve en images (à Vernaison et sous le passage de l'Argue pour la fête des Lumières!)








Au programme ces prochains jours :
- Une ou deux petites sorties rue de la Ré' à Lyon pour se mettre en bouche
- Une petite visite dans les amphis de notre IEP chéri
- Le CRIT bien entendu, sinon, à quoi bon vivre (et une chouette rencontre prévue avec nos potes de Sciences-Po Bordeaux).

Ca, c'est pour mars. Si vous avez des choses à nous proposer pour avril et mai, on vous écoutera de nos deux grandes oreilles d'éléphant : fanfaraon (at) gmail (point) com!

Le bisou très très tiède!

mercredi 14 septembre 2011

Fanfaraon : saison 10

La Fanfaraon, c'est une série qui dure. Pour preuve, la saison 10 débute ce mercredi 14 septembre! Oui, jeunes gens, viendez nombreux à notre première répet' à l'IEP à 19h!

Tous les membres, je dis bien tous, ont pu, grâce à leur vacances au Chili ou à Saint-Pourçain-sur-Sioule, se mettre dans les meilleurs conditions pour entamer cette nouvelle année placée sous cette simple devise:
Assiduité, ponctualité, ébriété.

Et on commence les choses sérieuses le samedi 24 septembre à 10H, place Bellecour, pour la pyramide de chaussures Handicap International. On sait, c'est tôt, mais pour la bonne cause, alors on compte sur vous pour vous déplacer en masse!



A très bientôt!

vendredi 1 avril 2011

L'ami Critz


En ce jour mémorable du 25 mars 2011, menés par le terrible Colin O'conor, sheriff de deadcity, munis de leur plus beaux poils bleus et collants rouges, les Fanfaraons, fidèles à la tradition, se sont lancés à l'assaut de Paris, une bourgade de 10 millions d'âmes




Parce qu'ils n'avaient pas peur de jouer trente fois d'affilée Hot Stuff, parce qu'ils ne craignaient pas la tiédeur de la bière, mais aussi par amour du sport, ils bravèrent l'arrogance parisienne et la saleté lilloise pour soutenir Lyon dans les sports nobles, du foot à la pétanque, du volley au basket.

Après une première journée réussie, et un accueil très chaleureux, ils supportèrent vaillamment leurs amis footeux qui triomphèrent du bandit Parisien.

Et parce qu'ils n'étaient pas là pour être ici, ils jouèrent au saloon "Lou Pascalou", en compagnie de l'excellente Brass'ta roquette, avant de retourner quelques métros et la place Beaubourg avec leurs amis de sciences po bordeaux, la déBanda'de.


Après une opération stickage de sciencepo-point, et un concert sur le pont des arts, il était temps de rentrer dans la ville des lumières (la vraie!).
Le bilan avoisine celui des rugbymen : une tendinite au pouce de notre clarinettiste, des grosses caisses à retendre, une peau de caisse claire trouée et un piston de tuba abimé !

Il en faudra tout de même plus pour faire capituler la fanfaraon, la fanfare de l'extrême.